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| | Il règne comme un sentiment de Liberté. L' |  |
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Leleth M. Paraete
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 |  Sujet: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Lun 16 Fév - 17:24 | |
| IL REGNE COMME UN SENTIMENT DE LIBERTE.Musique
Libre
Je marchais tranquillement, à l’abri des épais taillis. Bien que nous soyons en plein milieu du jour, aux alentours de midi, il faisait plus que sombre. C’est à peine si l’on voyait à pas cinq mètres devant soi. Pourtant, je me mouvais sans difficulté. Les arbres semblaient presque se brouiller sur les bords de mon regard et plissais des yeux pour que mon regard gagne en netteté sur le devant et au centre, histoire de ne pas tomber et voir où je marchais. Mon pas était cadencé, régulier mais rapide et fluide. Mes muscles jouaient sans problème et j’appréciais ce sentiment de toute puissante que j’avais sur mon corps. Je n’avais qu’à penser à quelque chose, un influx nerveux partait de mon cerveau pour descendre le long de ma moelle épinière, parcourait tout le réseau de nerf qui constituait mon corps jusqu’à finir au bout de mes membres pour les actionner. J’étais puissante, j’étais forte, je sentais chaque parcelle d’énergie que j’avais en moi pour l’utiliser. Je ne comptais plus les pertes, je me jetais juste à corps perdu dans cette course.
Une ombre noire. Voilà ce que je devais être pour ceux qui me voyais passer. Car qui aurait crut voir une grande louve noire aux yeux cerclés de noir se lancer dans une course folle ? Qui aurait crut ce qu’il voyait : une louve dont les yeux brillaient d’une flamme intérieure ? J’avais intérieurement conscience de chaque être vivant que je dépassais, mon odorat bien plus puissant que lorsque j’étais humaine m’informant sûrement. J’avais conscience, comme une douleur lancinante, que je m’éloignais de plus en plus de la Push et de ma demeure. Mais la louve qui m’habitait n’en avait que faire. Et si l’Humaine s’en inquiétait un peu, ce n’était pas elle qui prédominé en cet instant. Je pensais pourtant savoir me contrôler quand je me transformais. Je n’étais peut-être pas tellement le cas. Mais qu’importe, la journée n’était pas encore finie et j’avais tout le temps pour revenir chez moi avant le soir. Je courais. Libre. J’avais abandonné mes vêtements dans un fourré, pas trop loin de la Maison, histoire de les retrouver et pas rentrer nue pour une deuxième fois chez moi =D. Mais pour le moment, n’y pensons plus, je venais de débouler dans une clairière à ciel ouvert. La lumière m’inonda soudainement et je me laissais choir à pleine vitesse.
Je partis en roulé boulé jusqu’à taper contre un arbre. Il y eut un petit craquement et je ne bougeais plus. Je restais immobile, le souffle court, riant aux éclats à prendre haleine. Cela devait être assez étrange, une sorte de louve qui rigolait comme rigole les loups. Disons que cela pouvait sembler très bizarre. Alors que je tentais de reprendre mon souffle, appuyait contre le tronc frais du sapin qui m’avait arrêté, je gardais les yeux fermés. Pour une fois, j’étais vraiment bien. Il n’y avait que du noir autour de moi. Mais derrière mes paupières closes, j’apercevais quelques flashes de lumière. Autour de moi, les oiseaux semblaient s’être tu. Je n’entendais plus rien. Je ne captais même plus les pas des petits rongeurs qui auraient du trottiner sur le sol herbeux et couvert de feuille de la Forêt. Cela me surprit et je me redressais d’un coup, ouvrant les yeux. Ce fut à ce moment là que la Lumière et le Son m’assaillir. Je frissonnais sous « l’agression ». Refermant les yeux, ayant mal au crâne, je soupirais. Je n’avais pas rêvé, j’avais juste fais abstraction de ce qui m’entourais pendant quelques secondes, histoire d’être enfin seule et calme. Une pensée m’assaillit soudainement, n’y avait il personne autour de moi ? Etais-je bien seule ? Si quelqu’un tombait sur une grosse Louve noire comme ça, je ne suis pas sûr qu’il apprécie. Voilà pourquoi je me relevais complètement et faisait lentement le tour de l’horizon de mon regard noir charbon. Quelqu’un ? Non, je ne vis personne. Voilà pourquoi je négligeais mon odorat et je me mettais à marcher. A peine deux pas plus loin, je crus capter un petit bruit. Merde, j’aurais du vérifier les odeurs ><. Un peu lasse mais prête à faire fuir celui qui venait me déranger, je me retournais violement et un sourd grondement sortit de ma poitrine. Qui que ce soit, il n’avait pas intérêt à s'approcher … | |
|  | | Steven Van Dortën
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| | Sujet: Re: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Mar 17 Fév - 12:19 | |
| - S'approcher ? Mais pourquoi s'approcher ? Pourquoi user son temps et sont énergie pour une chose si piteuse que ça ? J'étais depuis longtemps tapis sur mon arbre, c'était un grand sapin, qui dégagé une odeur subtile cachant la mienne ...Je faisait tranquillement ma sieste, une nuit tenue de cauchemar et d'horreur ... Je me voyais dans un miroir, tuer et assassiné s pitié, alors que je ne le désiré pas, tant d'année, maintenant ... J'avais 19ans en apparence, et voilà deux ans que j'étais un monstre ... Un monstre assoiffé de sang et sans pitié ... Pourquoi ? Mais, Pourquoi ? Sans raison, comme d'habitude. Peut être y avait t-il d'autre vampire, ici . Si ma nature est de tuer je ferais en sorte de la satisfaire ... Une odeur me vint, alors que quelque chose frappa violemment mon arbre, instable, je me releva sur la lourde branche, apercevant une louve noir ... Ce n'est pas tout les jours qu'on voit des loups ... Je resta silencieux, ce n'était pas un simple loup, l'odeur était trop forte ... Je m'installa encore plus dans l'arbre, mes yeux argenté fixé la cible sans pitié, alors qu'elle décampa à toute vitesse ... Je me pencha encore plus, me gamélant, cassant la fine branche sur laquelle j'étais posé, et me rattrapant par chance sur une des plus grande . Je me releva, et entendit un grognement des plus ... doux ... Je souris, n'importe quoi ... Alors, utilisant mes talents rapide, en deux mouvements je fut près de la jeune ' louve ' mes yeux la fixée librement, alors que j'entrepris d'un voie froide .
> Hello ... w ...
Un jeune garçon des plus innocent, main dans les poches, peau douce et jeune, un regard argenté sous le soleil qui brillait par les fins arbre qui étaient ici ... Pourtant, la façon dont je fixait la louve était bien particulière, vu que je savais que celle-ci n'était ni humaine ni louve ... Je m'était assoiffé pour être polit, si elle ne l'était pas, une bataille risqué d'éclaté, je retint alors mes dents et mon envie de sang, terriblement, c'était ... insupportable ...
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| | | | Leleth M. Paraete
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| | Sujet: Re: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Mar 17 Fév - 23:42 | |
| Un homme. Un jeune homme. Un Humain quoi. Sous ma forme de loup, j’avais un odorat plus sensible que lorsque j’étais Humaine. Et là, c’était étonnant, l’odeur était … Suspect. Disons qu’elle était extrêmement différente de ce que je captais normalement. Cela ne fit que me conforter dans l’idée qu’il fallait que je reste sur mes gardes. Voilà peut-être pourquoi je reculais d’un pas, je pliais mes postérieurs, histoire de pouvoir bondir rapidement hors d’atteinte s’il le fallait puis je posais mes yeux bleus glace sur l’homme qui me faisait face. Je ne pouvais détacher mes yeux de lui. Il semblait auréolé d’une drôle d’aura. Il semblait puissant. Très puissant. Sur que je n’allais pas lui sauter dessus. Je ne ferais jamais le poids face à lui. J’étais peut-être Sauvage, mais réaliste. Bien, très bien, qu’il reste là où il était, cela ne me dérangeait en rien. Lorsque, en quelques mouvements fluides, il fut sur moi, je reculais de quelques foulées, retenant à grande peine un grognement. Je ne pus néanmoins m’empêcher de relever les babines pour dévoiler mes canines. Tout fort qu’il soit, il devait le savoir, je défendrais chèrement ma vie. Et je pouvais le blesser un minimum, je le savais. Mais qu’était il vraiment ? Je ne le savais pas et cela m’intriguait. Depuis quelques temps, ma vie avait complètement basculée, effondrées toutes mes certitudes et mes idées bien arrêtées. Tout avait changé.
Relevant ma tête, je soutenais le regard de l’homme. Lorsque je captais l’étrange étincelle qui brillait dans son œil, je reculais, comme frappée par un poing invisible, complètement pliée par la surprise. Il savait ?! Comment était-ce possible ? Comment pouvait il savoir cela ? Que je n’étais pas qu’une simple louve ? C’était étrange, moi qui pensais être la seule à être si … bizarre, tout changeait à nouveau. Je frissonnais sous le coup de la surprise. Mes griffes antérieures lacérèrent le sol avec une facilité déconcertante. J’étais forte certes, mais j’étais encore si fragile. C’était comme si je venais de naître. Alors que j’avais baissé la tête pour regarder ce qu’avaient provoqué mes griffes, je relevais soudainement la tête, fixant l’homme, le détaillant plus basiquement. Physiquement quoi. Il avait des cheveux noirs. Mi-longs, un peu ébouriffés. Le visage fin, presque sculptural, la peau blanche, les yeux profonds, il avait tout autant une carrure de statue. Très honnêtement, je pense que beaucoup ici le considérerait comme magnifique. Etait-ce mon cas ? Hum … C’était pas vraiment mon genre mais je devais avouer qu’il était beau. Mort de rire comme on dit, j’avais le pressentiment que cet homme pouvait me tuer d’une baffe et j’étais là, à critiquer son physique et à le noter =D.
Bon, fallait peut-être réagir un peu, histoire de lui montrer que oui, je l’avais vu, oui il avait l’air puissant mais que de un, je n’avais aucunes intentions belliqueuses et de deux, que je n’allais pas me laisser marcher sur les pattes. Mais comment communiquer lorsque l’on était sous la forme d’un loup ? Bonne question, je ne savais vraiment pas. Me transformer ? Absolument proscrit. De un parce qu’il y avait peut-être encore un petit espoir pour qu’il n’ait pas découvert le pot aux roses. De deux parce qu’apparaître complètement nue devant lui ne risquait pas d’améliorer les choses =D. Comment faire dans ce cas là ? Hum … S’il était vraiment ce que je soupçonnais, un bonhomme, pas totalement humain, peut-être comprendrait il. Me redressant, je m’asseyais, toute trace de peur dans mes yeux disparut. J’avais l’air fière. Juste fière et noble. Mon beau regard bleu foncé désormais se figea dans celui de l’homme et je ne bougeais plus. Ce que semblait dire mon regard ? « Bonjour. Vous faites un bien étrange bonhomme … » … | |
| | | | Steven Van Dortën
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| | Sujet: Re: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Mer 18 Fév - 12:52 | |
| - J'étais debout,grand, imposant, certes j'étais puissant, mais ce n'était rien par rapport à ce que pouvais faire les autres vampire, j'étais jeune, et j'avais tout à apprendre, si j'avais l'air si puissant que le pensé cette louve, c'est que je pouvais l'être ... Je connaisse son secret, normal, je l'avais sentis, et ce n'étais pas la première ... Un petit sourire s'étira sur mes lèvres fines, c'était une louve noir au regard bleu étincelant, elle me rappeler mon jeune frère, avec ses yeux, ses yeux s garnis et si beau, je souris, un souris timide avant d epasser ma main dans mes cheveux noirs, timidement, je m'accroupis près d'elle, elle avait reculée, mon regard se tourna vers elle, elle avait une fine silhouette musclée, un pelage noir et épais, surement pour le froid, je m'approcha d'elle, et elle recula à nouveau ...
- Hé ! t'en fait pas, je vais pas te manger !
Un sourire timide se dessina sur mes lèvres, je m'assis sur le sol, elle m'avais parler, par le regard, je parlais ainsi par la fenêtre avec mes amis, la seule petite fenêtre par laquelle je pouvais regarder la cours, la si belle cours, la fenêtre sale et forte ... Je revins vers elle, je voulais qu'elle ai un peu plus confiance en moi, elle avait l'air nettement nouvelle, je veut dire, nouvelle louve, moi aussi j'avais du mal à me contrôler, note problème était pareil, nous pouvions nous aider les uns les autres ...
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| | | | Leleth M. Paraete
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| | Sujet: Re: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Jeu 19 Fév - 12:17 | |
| Ne pas me manger ? Grand dieu j’espère bien ! J’osais à peine imaginer la scène. Brr … Il aurait fallut de ces drôles de dents à ce jeune homme pour me manger. Je frémis doucement à cette pensée, hérissant mon poil duveteux que j’avais sur l’échine. Mais ce n’était qu’une déambulation de mon imagination, rien de réel bien heureusement. Je me reprenais donc rapidement et j’avançais d’un pas vers l’Humain. Il semblait presque prêt à faire ami ami. Un Humain censé aurait il essayé de se lier d’amitié avec une simple Louve sauvage ? Je ne pense pas. Mais comment pouvait il savoir ? Alors qu’il s’avançait, je vis ses narines frémirent. Ah oui, pas bête, je ne devais pas avoir tout à fait la même odeur qu’un Loup sauvage. Et pour peu que ce jeune homme brun ait l’odorat un tant soit peu développé, il n’était certainement pas dur pour lui de faire la différence entre un Loup et … un loup garou. Juste penser à ce mot me faisait encore frissonner. C’était si bizarre. Moi qui avais grandis en écoutant les Légendes sur les Hommes Loups et les Hommes éternels, cela me faisait si bizarre de me retrouver de l’autre côté du mur. Ouvrir les yeux sur un monde nouveau. Pour la première fois depuis que je m’étais transformé, j’envisageais la possibilité qu’il puisse y avoir d’autre Loup Garou et peut-être quelque uns de ces hommes éternels, les Vampires. Brrr … Un autre mot qui me faisait frissonner. C’était tellement étrange en faite, un autre monde en faite. Avec ses lois et ses règles bien définies sauf que moi, je ne les connaissais pas. J’avançais à tâtons, essayant de ne pas trébucher sur plus fort que moi.
Mais bon passons, autant fermer les yeux, respirer un grand coup et relever les yeux vers l’Homme. Et si lui, il était autre chose ? Autre chose tel qu’un Vampire peut-être ? Non, c’était idiot, je devenais parano là ! Bientôt, j’imaginerais qu’une importante concentration de Vampire se trouvait là, près à fondre sur les innocents Humains de la petite ville de Forks et ces alentours. Rien qu’à cette pensée, je m’hérissais et mes babines se retroussaient un peu. Mais je m’arrêtais bien vite, d’une j’étais parano et de deux, le jeune homme venait de s’approcher, un petit sourire au lèvres. Et bah oui, il semblait bel et bien avoir envie de papoter. J’espérais pour lui qu’il savait lire dans les yeux ce petit bonhomme car je n’avais aucune envie de me transformer. Lorsqu’il s’assit sur le sol, je l’imitais, posant mon derrière dans la poussière. Pendant quelques secondes, le silence régna, simplement entrecoupé par les battements sourds de ma queue qui se balançait sur le sol. C’était étrange, le jeune homme semblait presque … timide. Ce trait de caractère me surprit et dans mes yeux, il brilla une petite flamme joyeuse. Posant mon regard bleu azur profond dans celui du jeune homme aux cheveux noirs, j’étirais mes babines en un petit sourire de Loup. Un sourire malicieux, un peu méfiant mais franc. Je lui parlais alors. La petite flamme qui brillait dans mes yeux bleus semblait communiquer avec l’Humain. Ils semblaient dire : « Oh, je ne m’inquiète pas, ce serait plutôt moi qui te croquerais petit impudent. Mais, dit moi, qui est tu vraiment ? Et … Qui suis-je après tout ? » | |
| | | | Leleth M. Paraete
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| | Sujet: Re: Il règne comme un sentiment de Liberté. L' Lun 9 Mar - 22:05 | |
| - [ OMG J'AVAIS TOTALEMENT PAS VU ! ^^" ]
Un sourire étira mes lèvres ... Cette louve n'était pas une louve normale, oh, je le savais ... Mais je n'avais encore jamais vu véritablement une de ces bêtes ... Je m'approcha, curieux, et approcha ma main comme un enfant de son pelage, tout doucement, si doucement que je me demandais s'y j'y arriverais dans trois ans ... J'avais l'impression que la louve voulait s'enfuir, pas évident, puisque je courrais certainement plus vite qu'elle, mais voyant son hésitation je repris ma main et recula, en lisant dans ses yeux ... Elle ne savait donc pas à qui elle avait affaire ... Je lui décocha un de ces sourires que ne peut donné un humain, montrant mes dents blanche,s luisantes, et parfaitement alignées ... Je me leva et m'étira, avant de répondre lentement à sa question, que j'avais cru vrai semblablement comprendre ...
<< ... Je ne m'en fait pas pour moi, tu n'est pas prête de me faire quoi que se soit ... Tu t'isole bien, je n'aurais jamais dit que tu étai un ... une ... enfin tu vois ! >>
Je décocha un nouveau sourire avant de me rassoir, toujours aussi curieux, je découvrais le monde, non ? Je rapprocha ma main confiante de son pelage gris, toujours aussi doucement, toujours aussi doucement ... Si doucement ... Et j'attrapasse une de ses fines mèches de pelage, il était doux, j'étais tenté d'en arraché un peu pour voir l'effet, mais je retira ma main, et je la regarda profondément dans les yeux ...
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