Tu te crois fort ? [PV Jacob]

.Tu te crois fort ?.

[ Tu veux pas remplacé par Jacob ? Même s'il se prends la plus grosse branlé de sa vie c'est pas grave mais j'ai plus d'inspiration avec lui xD je sais pas trop encore comment Carlisle réagirait alors que pour Jake je saurais xD ]

[Daccourd ma chérie =)]

[Cool merci ^^]

Langue pendue sur le coté, coussinet transpirant légerement je venais de parcourir une bonne centaine de kilomètre. Non, non pas pour préserver les gens de quelque chose, simplement parce que j'avais une grande envie de me défouler, de sentir le bois autour de moi, de sentir la terre défilait sous mes pattes. Cela faisait tellement longtemps que je ne m'étais pas transformer que maintenant j'avais comme l'impression de redécouvrir mon aspect lupin, j'avais retrouver toute mes force. J'étais resté tellement assis toute a l'heure que ca me donne a présent l'impression d'etre courbaturé c'est la vraie merde quoi ! Je m'arrête a net, me secoua puis repris une marche tranquille et silencieuse. Mes pattes n'émettaient strictement aucun son quand je les posé au oreilles des humains, par contre a celles des Vampire ou autre Loup-Garou je les posais tellement légèrement qu'elles faisaient autant de bruit que quand l'ong posant un livre doucement sur une table en bois.

Pourtant quelque chose m'interpella. Une odeur qui ne m'était pas famillière mais qui me dégouté a la fois. Un grognement roula au fond de ma gorge alors que ma tête s'aligna a la ligne de mon dos. Seules mes épaules déformé ce mouvement rectiligne quand je marchais. Je coucha brutalement les oreilles alors que cette odeur immonde me brulait les narines et le fond de la gorge. Ravalant ma salive je m'arreta net a la sortie de la foret quand j'observais une forme se mouvoir au loin. Oui bien sur que je la reconnue et je ne comptais pas du tout me défiller. Mes babine se relevèrent naturellement découvrant mes crocs d'ivoire.

} Comment ne pas vomir en sentant cette immonde odeur ? J'eu envie de plonger la tête sous l'eau pour ne pas sentir ce truc dégueulasse qui approchait. Puis, sortant des fourrées, je l'aperçus : un grand loup beige. Pas très acceuillant, il découvrit ses longs crocs en face de moi, mais je devinais aisément qu'il n'était pas un vrai loup. Trop grand, trop courageux, il me faisait penser à ces batards. La simple pensée des Enfants de la Lune me réduit à l'état d'une poupée du chiffon tellement la peur envahit mon corps. Une goutte de sueur froide glissa le long de mon cou alors que je contemplai le loup sans laisser paraitre une once de sentiments. Pourtant au plus profond de moi-même, quelque chose me disait que je rêvais, que je me trompai. Je levai une demi-seconde les yeux au ciel, je fus donc convaincue que cette chose n'était pas un Enfant de la lune, il faisait jour. Malgré moi, je fus soulagée... Ces créatures avaient été puissantes, et je deglutis et passai doucement ma main sur ma hanche. Personne ne l'avait remarqué, personne n'avait jamais vut que j'avais quelque chose sur cette hanche : une cicatrice. Pas une petite, non, j'avais une longue griffure de haut en bas. Mais grâce à mes métamorphoses j'avais réussie à la faire disparaitre. Si jamais je cessai de la faire disparaitre, alors on découvrirait sur ma hanche une longue griffure fraiche, irrécupérable. Voilà, oui, c'était vrai. Je n'étais pas comme ça, je n'étais pas aussi belle, aussi parfaite. Tout n'était qu'une illusion, tout n'était qu'un jeu, mais personne ne le savait. Si un jour quelqu'un découvrait mon vrai corps, celui que Dame Nature m'avait offert, il ne découvrirait qu'un amassis de cicatrices, de bleus, de sang. Mais dans ma vraie forme, je me savais la plus puissante.

} Je n'aimais pas penser que j'étais une illusion, aussi je me sortis ces idées de la tête en secouant ma chevelure blonde. La pluie battait la cascade et je plongeai mon regard rouge sang, rouge cramoisie virant sur le noir au fil des secondes sur le loup. Un long sourire s'étira le long de mes lèvres et j'avançai vers lui, confiante et calme. Ma démarche était des plus gracieuses, chacun de mes mouvements inspiraient craintes et beautés, mais je vous passe les détails. Mes formes dites "parfaites" bien que j'en doute parfois, je sortis entièrement nue de l'eau, à un peu plus de 15 mètres du loup. Loup, loup... Garou ? Aucune idée, et finalement, je m'en fichais bien, je n'avais pas peur d'un gros caniche, d'un batard galeux qui me grogne dessus. Je me penchai en avant, pris mes sous-vêtements et les enfilaient doucement, sans me presser mais sans pour autant faire exprès. Une fois à peu près décente, je posai une main sur ma hanche abîmée et regardai lassement le loup. Finalement, mes yeux devinrent complètement noirs, d'un noir encore superficiel et pas encore très dangereu. Bien fou était celui qui oserait se plonger dans la contemplation de mes yeux lorsque j'étais dans une colère noire... Ma voix fut sèche, claquant comme un fouet et pourtant dragueuse et sensuelle, mençante et comme si je cherchai juste à énerver ce grand balourd de loup.

- Alors, petit caniche, on est lassé de vivre ?

} Il faisait le beau, il faisait l'interressant, mais il ne tiendrait pas longtemps. Je ne craignais pas, je ne réagissais pas face aux illusions. Oui, il pouvait donc venir, oui, approches mon caniche, approches. Quel crétin, le monde avait donc bien changé depuis le début de ma nuit. Mais aujourd'hui, j'étais là, et lui, il n'allait pas faire long feu. Les claquements de ses crocs résonnèrent longuement autour de nous, et alors ? Je m'en fichais éperdumment, mais bon. Je me demandais même s'il ne serait pas interressant de me métamorphoser pour lui faire peur. Néanmoins, je n'étais pas ambitieuse, du moins, pas trop. Parce que je ne doutais pas une seconde qu'il n'était pas innocent, oh non, loin de là. Mais le danger, la souffrance, c'était tellement amusant. Quand enfin le premier grognement sortir de sa gorge, je me penchai en avant face à lui et découvrai mes crocs, puisque j'en avais. Passant rapidement ma langue sur mes lèvres, je le fixai avec amusement et sadisme. Mes yeux noirs devinrent oppressant. Oui, nous rentrions dans un combat, le premier combat que j'allais livrer en ce nouveau monde. Qui était-il et ce qu'il était, peut m'importait. Maintenant, juste le fait de pouvoir gagner et de pouvoir sentir le sang et la douleur, la mort entre ses doigts, quel bonheur. Je lui fis un grand sourire, penchant la tête sur le côté alors que je bougeai tout doucement, tout doucement...

} Chacun de mes pas étaient menaçants, mais quand le combat allait-il commencer ? En vérité, voilà belle lurette que ce combat avait commencé, en fait, depuis l'instant ou nos regards s'étaient croisés, un combat s'était déroulé. Mental, certes, mais combat quand même. Allons, réfléchissons, dans quel domaine allais-je donner toute ma force ? La vitesse ou la force ? Allais-je être loyale ? Je ne pensais pas, juste pour lui montrer que pour moi, un combat n'a pa de règles. Les règles, c'est pour les trucs de trouillards, pour qu'ils aient une chance de gagner. Moi je me foutais des règles, de ce qu'il fallait faire ou pas, de toute manière, qui oserait me dire que je n'ai pas gagner au risque de perdre aussi la vie ? Mais quelque chose me gênait dans ce loup, il sentait le... Vampire. Non, pas le sang vampire, non, la chair vampirique, mais que foutait-il près des vampires ? Peut être trainait t'il près de ces chers Cullens... Oui ! Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas être déloyale pour prouver aux Cullens que je les avais dans la poche ? Voilà une bonne idée, et je me félicitais mentalement. Je décidai de jouer sur la force, de toute manière, je ne donnerai jamais toute ma force. Pour l'avoir entière, il me fallait être moi-même...

} En même pas un dizième de seconde, je m'accroupis sur le sol et bandai aux maximum mes muscles. Je bondis, me retrouvais devant lui et là, en une sorte de figure d'art martiaux, je lui donnai un spectaculaire coup de pied dans les côtes. J'avais lancé loin ma jambre en arrière et l'avait rabattue sur lui avec une puissance péhnomènale. J'éclatai de rire alors que du sang me gicla dessus. Bondissant en arrière, je grimpai le long d'un tronc d'arbre et m'accroupissai sur une des branches. Le long de mon cou, de mon visage, du sang chaud glissait. Ma gorge s'enflamma d'un seul coup, et je posai un de mes longs doigts fins sur une goutte de sang, puis le portais à ma bouche en inspirant l'odeur alléchante de ce sang. Même si l'odeur de la créature était dégueulasse, celle de son sang était délicieuse et mes yeux se mirent à flamber. Mon rire était devenue plus léger, se mêlant au vent, doucement.

» Super le chien de la famille est là !!! [ Jacob]
» x. Jacob Black - Masculin - Loup-Garou